- La rétro-conception est aujourd’hui facilitée par les techniques de numérisation optiques et les procédés de fabrication additive.
- Une pièce mécanique d’une ancienne machine, dont on ne dispose pas de plans, peut être reproduite assez aisément sous certaines conditions. Sa forme peut être tout aussi unique que chacun de nos visages.
- Une équipe de l’IUT de Cachan donne un aperçu des capacités de rétro-conception en proposant actuellement à la Cité des sciences et de l’Industrie (Paris Porte de la Villette) une animation qui connaît un franc succès auprès des petits comme des grands.
Cette animation offre l’opportunité de découvrir en live les principales étapes d’un processus de reconception : la modélisation 3D de la tête des visiteurs et sa fabrication dans la foulée.
# Première étape : Prendre la pose.
# Deuxième étape : Traitement logiciel.
Le nuage de points collectés par le système de mesure optique est traité dans la foulée par un logiciel qui recale l’ensemble des scans entre eux dans le même référentiel sous l’œil avisé d’un opérateur qui contrôle les opérations sur l’écran d’un PC situé à proximité. Une fois les surfaces de la tête redessinées, le fichier CAO est transmis à une imprimante 3D.
# Troisième étape : Fabrication additive.
# Quatrième étape : Impression 3D achevée.